« Pomme d’Api » fait partie de ces petits joyaux dont Offenbach est coutumier. Dans cette pièce en un acte, on y retrouve ce mélange si particulier de joie et d’exubérance qui font le charme de son auteur.
Le Temps Pluriel se propose de revisiter cette fantaisie musicale en sortant la pièce de son ancrage dans le second empire. Ce triangle amoureux sera transposé dans l’atmosphère douce et colorée des années 60. En sortant des clichés attendus, la pièce réinterrogera la notion du désir au sein de notre société dans une ronde surréaliste, drôle et tendre, où planeront les ombres de Magritte et de Jacques Demy.
Une pomme juteuse, savoureuse et non calibrée !